• L'amour façon Albane

    Chapitre 3 ( Paris ) et Chapitre 4 (Première journée )

     

    Coucou!

    Je n'ai pas grand chose à dire étant donné le court écart de postage entre les deux chapitres précédents et ceux-ci. Je veux juste dire que, maintenant, commence la VRAI aventure d'Albane, à l'école de Paris. Comme vous vous en doutez peut être, je ne fais d'école de radio, je suis juste un "admirateur", si on peut appeler ça comme ça. Je ne sais donc pas comment cela se déroule. J'ai juste fais au plus simple et au plus agréable (vous remarquerez que la durée des cours n'est pas très longue). Mais si il y a des étudiants en radio parmis les lecteurs (j'en doute beaucoup, mais ça ne coûte rien de demander), je serai ravi d'apprendre à quoi ressemble une VRAI école de radio.

    C'est tout ce que j'avais à dire!

    Bonne lecture!

     

    Chapitre 3

    Paris

     

    L'amour façon AlbaneEnfin, le 2 juillet arriva. Je fermais mes valises quand Eliot sonna à la porte. J’embrassai mes parents et rejoignis mon ami. Nous allons chercher Louis, Julian, Kévin et Kelly puis rejoignions les autres chez Simon. Nous montons tous dans la camionnette de son père qui nous emmena à la gare de La Rochelle.

    Les deux heure jusqu’à Paris passèrent vite et à 15 heure, nous étions à l’internat.

    Tout nous paraissait immense. C’était la première fois que je venais à Paris donc j’étais impressionnée. Thomas, qui y avait habité quelques années, nous fit visiter les quartiers qu’il connaissait bien. Puis à 17h30, nous partîmes à l’école de radio qui allait nous abriter quelques années.

    Monsieur Lacroix, le directeur nous accueilli chaleureusement. Il nous montra quelques lieux principaux, puis à la fin nous mena aux dortoirs. Ils n’étaient bien sur pas mixtes mais pour plusieurs personnes à la fois. Kelly, Joyce et moi nous mîmes ensemble, et les garçons se séparèrent en deux groupes : Eliot, Louis, Kévin d’un côté et Julian, Simon, Thomas de l’autre. De ma fenêtre, j’avais une vue très belle sur une bonne partie de Paris et sur la Tour Eiffel. Vers 20h, on nous appela pour nous dire de venir à table. Il y avait beaucoup de monde mais toutes les équipes étaient gentilles, surtout celles qui étaient là depuis plus d’un an. Ils nous accueillirent avec joie.

    A 21h30, Kelly, Joyce et moi allâmes nous coucher. Nous parlions du lendemain que nous attendions avec hâte depuis si longtemps, notre premier jour à l’école de radio.

    Kelly « Vous pensez qu’on essayera de faire une émission ?

    Joyce-La première fois, je ne pense pas.

    Albane-Je suis d’accord avec Joyce ! Ils nous expliqueront les bases.

    Kelly-Je ne vois pas ce qu’il y a de si compliquer à parler dans un micro !

    Albane-Kelly…

    Kelly-Mais moi, je veux faire de la vrai radio !On est pas là pour apprendre des trucs qu’un gamin de 5 ans est capable de faire !

    Albane-Chaque choses en son temps !Et puis il vont sûrement nous apprendre des choses qu’on ne connaît pas encore ! »

    J’eux le dernier mot et Kelly mit la tête sous son oreiller. Deux minutes plus tard, elle dormait déjà comme un bébé. Kelly était un peu tête de mule. Elle n’aimait pas qu’on la contre-dise, surtout quand elle savait qu’on avait raison. Elle avait un fort caractère, mais c’est pour ça qu’on l’aimait bien.

     

     


    Chapitre 4

    Première journée

     

    L'amour façon AlbaneLe lendemain matin, après un bon déjeuné assez matinal, nous rejoignîmes les garçons et allâmes ensemble au ‘’cours’’.

    Le prof, un jeune d’environ 26 ans et plutôt beau gosse, se présenta.

    Prof « Bonjour tout le monde, je suis Monsieur Dedieux, mais vous pourrez m’appeler Félix. Je serai votre instituteur toute au long de l’année. Avec moi, vous apprendrez beaucoup de mots qui vont vous servir plus tard dans la radio ainsi que le fonctionnement de certaines machines.

    Louis et Eliot-Oh ouai !

    Kelly-Ouai, tu parles ! On connais déjà tout !

    Prof-Mademoiselle ? Quel est votre prénom ?

    Kelly-Euh…Kelly, pourquoi ?

    Prof-Vous connaissez beaucoup de choses en ce qui est de la radio, dîtes-vous ? Alors qu’est-ce qu’une payola ?

    Kelly-Euh…c’est…hmm…

    Prof-Voilà. Alors s’il vous plait, laissez-moi poursuivre. Je disais donc, nous allons voir le fonctionnement de quelques machines de technique. »

    Kelly se tourna vers moi et me fit comprendre qu’au bout de 10 minutes de cours, le prof l’énervait déjà. Félix nous montra toute la matinée comment allumer et faire fonctionner les machines de son et couper et allumer les micros. Je trouvais ça très intéressant mais bien sur, Kelly me parlant tout le temps, je ne pus pas trop me concentrer.

    L’après-midi nous était réservé pour s’entraîner à parler au micro. Nous nous enregistrions puis écoutions nos résultats, qui étaient souvent catastrophiques. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’on avait encore plusieurs années pour nous améliorer.

     

    En fin de journée, avant le repas du soir, je sortis sans le jardin du l’internat pour admirer la vue. Je repensais à mon île et je ressentis le doux vent marin qui caressait mes joues. Le bruit des vagues emplit mon esprit et je me laissai bercer par ce mélodie de la nature qui m’a vue grandir.

    Soudain, je sentis une main sur mon bras. Je me retournai, brusquement coupée dans mes rêveries et me retrouvai face à, à ma grande surprise, Julian. Il admira le paysage quelques secondes avant de se tourner vers moi. Je lui lançai un regard interrogateur mais il ne le comprit pas. Il me dit simplement :

    Julian « C’est vraiment cool, qu’on soit tous ici, tu ne trouves pas ?

    Albane-Hmm…si.

    Julian-Ca ne va pas ?

    Albane-Si, si. Mais je trouve ça juste bizarre que d’un jour à l’autre tu te mettes à me parler normalement…

    Julian-On vient de commencer une vie plus spéciale que les autres. Ce n’est pas tout le monde qui fait l’école dans laquelle nous venons d’entrer. Alors autant avoir de bonnes relations plutôt que de toujours être en compétition. Surtout que maintenant, on va avoir besoin d’entre aide si on veut tous continuer les années suivantes. »

    Je souris à sa réponse complète qui, pour moi, était un nouveau départ, dans une nouvelle relation.

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